…l’orque qui aimait les hommes.
Je viens de voir ce reportage à la télévision.
Il y est si bien décrit le « mur » qui sépare nos deux mondes distincts, celui de l’humain avec le monde animal;
Par respect, par peur, par manque de connaissance.
Quoi faire lorsque l’animal, normalement sauvage pour se protéger de nous, que faire lorsque celui ci recherche la compagnie de l’homme, voir son affection?
Et, dans quel situation de danger se met-il et le mettons-nous en acceptant cette amitié non conventionnelle, non autorisée, interdite?
La réponse est dans la fin du reportage.
Il est bien difficile d’être dans le respect du lien que l’on créait avec un animal sauvage qui vous aime;
Car, où est le respect? L’accueillir et répondre à l’appel de ses recherches de contacts, ou bien l’aimer en le chassant sans relâche, quitte à le retrouver entre de mauvaises mains?
La fin est bien souvent difficile et vous rappelle qu’il y a un ordre à toute chose, que chacun doit rester à sa place, sinon les éléments se déchainnent pour contraindre les « hérétiques » à se plier à la norme.
Vivre une relation d’amitié avec un animal sauvage est anormal, oui, rarissime aussi, oui, mais quiconque l’aura vécu, vous dira comme il est divin de communiquer avec cette part de nous même encrée en cette « bête », et combien oh grand jamais, il n’est possible de nier ce lien, pour toujours indéfectible.
Toutes les personnes qui ont étaient approchée par Luna le disent: Celà fait partie des moment fort de leur vie.
Et, comme je les comprends!!
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